Christ est mort pour nos péchés, conformément aux Écritures ; il a été enseveli et il est ressuscité le troisième jour.
1 Corinthiens 15.3-4
Un article déjà ancien sur la variation de la date de Pâques affirme : « Nos aïeux attachaient peu d’importance à ces [variations de] dates. La semaine sainte était pour eux une période d’exercices religieux. […] Or, il n’en est plus de même aujourd’hui. Les vacances de Pâques sont devenues une période de villégiature. Après la longue réclusion de l’hiver, chacun est pris par la fièvre du déplacement et la fringale du grand air »1.
Les choses n’ont pas beaucoup changé depuis 1932. Pour la plupart de nos contemporains, Pâques est le premier long week-end du printemps et l’occasion de manger des œufs en chocolat. Seuls quelques “illuminés” s’attachent à y voir une fête religieuse.
Il est donc nécessaire de rappeler ce que cette fête commémore. Jésus-Christ est mort la veille de la Pâque juive. Il l’a fait parce que, pour nous sauver, il a donné sa vie pour nous. Au cours du même « week-end prolongé », il est ensuite ressuscité. Et ceci nous concerne, au 21ème siècle, parce qu’il a promis de venir vivre par son Esprit en ceux qui lui ont donné leur vie. C’est le cas des amis qui vous ont remis ou envoyé ce calendrier.
Que la date de Pâques sur notre calendrier nous rappelle tout ce que nous devons à Jésus-Christ ! Et, si ce n’est pas encore fait, saisissez, vous aussi, l’offre de son salut.
Jean-Louis Théron
1 Le « Petit Journal Illustré », 1932
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Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 15, versets 1 à 28.