Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le Fils de l’homme vous donnera ; car c’est lui que le Père, que Dieu lui-même a marqué de son sceau.
Jean 6.27
Dans le centre commercial, un petit garçon pleure. Sa maman vient de lui refuser un paquet de bonbons…
Est-il heureux celui qui n’a pas ce qu’il veut ? Non ! Mais celui qui obtient ce qu’il veut l’est-il pour autant ? Tout dépend si ce qu’il désire est mauvais ou bon pour lui…
En son temps, le roi Salomon écrivait1 : Qui sait ce qui est bon pour l’homme dans la vie, pendant le nombre des jours de sa vie de vanité, qu’il passe comme une ombre ?
Sans doute, avons-nous connu personnellement des mirages du bonheur. Il y a des biens que nous désirons fortement et qui se révèlent trompeurs, ou décevants, une fois obtenus. D’autres nous ont nui, ou se sont enfuis avec le temps. Finalement, il s’agit non seulement de posséder ce qui est bon, mais de le posséder durablement !
Je ne connais aucune proposition terrestre qui réponde à tous ces critères. Par contre, je les trouve réunis dans les paroles et la portée des promesses de Jésus-Christ. Il se présente comme le bienfaiteur de nos âmes et de notre avenir. Non, le bonheur véritable ne vient pas des hommes, mais de Jésus, que Dieu lui-même a marqué de son sceau ! Heureux l’homme qui se confie en Lui. Sa joie subsistera dans la vie éternelle.
Dominique Moreau
1 Ecclésiaste 6.12
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Lecture proposée : Psaume 84.