Une recette de vernis

Je me réjouis de ta Parole, comme celui qui trouve un grand butin.
Psaume 119.162

À quoi peut bien servir un livre s’il n’a pas été lu ? Il a été écrit et édité, non pour garnir les rayons d’une bibliothèque, mais pour transmettre ce que son auteur a voulu faire connaître.
Pendant tout un siècle, on a cherché en vain la fameuse recette du vernis inégalable, fabriqué et employé par le luthier dont les violons demeurent les plus célèbres et les plus prestigieux au monde : Antonio Stradivari, dit “Stradivarius”.
Et voilà qu’un des descendants de l’illustre luthier de Crémone la trouva, par hasard, dans la vieille Bible de Stradivarius, au cours d’un déménagement.
À vrai dire, ce n’est pas cette recette de vernis qui était le plus grand trésor contenu dans cette Bible, mais bien le message même de la Parole de Dieu. Peut-être Stradivarius a-t-il voulu mettre à l’épreuve ses descendants en plaçant dans les pages du divin livre ce document de valeur, afin qu’ils le lisent et le découvrent avec reconnaissance ?
Le message a-t-il été reçu ? Je ne parle plus ici de la recette du vernis, mais du fait que la Bible mérite d’être lue et méditée chaque jour ; car elle communique à ses lecteurs la bonne nouvelle de l’amour de Dieu. Elle leur révèle la personne et l’œuvre de Jésus-Christ.
Si vous n’avez pas l’habitude de la lire, ouvrez-la donc, non pour y trouver quelque trésor caché ou oublié par quelqu’un, mais pour recevoir la révélation du pardon de Dieu et de la vie nouvelle qu’il donne à ceux qui croient en Jésus.

Lucien Clerc

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Lecture proposée : Psaume 119, versets 130 à 133 et 162 à 167.

Photo Credit: photomav Flickr via Compfight cc

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