Le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu, c’est qu’ils soient sauvés.
Romains 10.1
En ce début d’année, je revois ma mère occupée à écrire des cartes de vœux à la famille, aux amis ; l’occasion de donner des nouvelles, puis d’en recevoir !
Elle le faisait sans doute par tradition. Mais c’était aussi l’occasion pour elle d’ouvrir son cœur à des personnes particulièrement aimées.
Qu’importent les motifs ! Souhaiter à quelqu’un le meilleur pour l’année à venir est plutôt une bonne chose, même si cela ne va pas toujours très loin. Tout comme notre « bonjour », dont on oublie souvent qu’il exprime notre souhait d’un « bon jour » pour celui que nous saluons !
Mais nous le savons bien ! Aussi sincères soient-ils, nos vœux restent des souhaits qui ne préjugent en rien de l’avenir. À moins… à moins qu’ils ne soient, comme chez l’apôtre Paul, accompagnés de prières.
Non seulement Paul associe la prière à ses vœux, mais surtout il souhaite pour ses compatriotes le meilleur, le « salut ». Ce mot est à prendre dans son sens fort : il exprime la nécessité pour vous et moi de réussir notre vie de manière totale, dès ici-bas et pour l’éternité. Dans la Bible, les deux images les plus fortes du salut sont la libération de la maladie et celle de l’esclavage, de la servitude.
Le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu est que vous fassiez en 2019 l’expérience de ce si grand salut.
Bonne Année !
José Frédérick
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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 4, versets 16 à 22.