Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains.
Psaume 19.2
Francis Cabrel chante : « Quoi que tu fasses, L’amour est partout où tu regardes Dans les moindres recoins de l’espace Dans le moindre rêve où tu t’attardes… » Mais n’est-il pas plus facile, au contraire, de découvrir partout la haine ou l’égoïsme, ses contraires, 
ou pour le moins l’indifférence ? Il y a où que ce soit, les guerres, les conflits d’intérêts, les tensions, les séparations douloureuses…
Mais Cabrel a raison, cela ne signifie pas que l’amour ait disparu ! Il est également partout et pour le découvrir, il suffit de désirer le voir. Pensez à la mère animale, à la manière dont elle s’occupe de ses petits et les défend. Voyez la manière dont Dieu nous a fait cadeau, pour que notre vie soit belle et bonne, des couleurs, des saveurs, des musiques de la nature. Et pourquoi pas le bénir pour les capacités de toute espèce accordées aux humains : les Bach, Haendel, les Pascal, Einstein, les Rembrandt, Monet, les Louis Pasteur, son épouse et tant d’autres ! Ces génies et tant d’autres ne sont-ils pas autant de signes d’amour de notre Dieu ?
Et que dire de l’amour qui a longtemps uni pour la vie mari et femme ? Les trahisons d’aujourd’hui peuvent-ils gommer les fidélités ?
Tout cela est cependant transcendé par la mort du Christ pour les pécheurs que nous sommes par laquelle Dieu a démontré son amour (Romains 5.8).
Richard Doulière
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Lecture proposée : Psaume 19, versets 1 à 7.