Et dites : Sauve–nous, Dieu de notre salut !
1 Chroniques 16.35
Cette semaine, l’amicale des conseillers municipaux de mon village a fait une excursion en Autriche. Soudain, pris d’un malaise, le chauffeur s’est écroulé. Notre voisine nous l’a raconté : elle a vu de près le ravin profond d’une centaine de mètres !
Mais Gilbert, un passager, s’est précipité. Enjambant le conducteur, il a pu stopper le véhicule in extremis. Son intervention rapide et courageuse a sauvé la vie à cette vingtaine de personnes. À son retour à Wimmenau, Gilbert a été accueilli et célébré comme l’ange gardien, le sauveur des miraculés.
Permettez une brève allégorie : voyons l’humanité comme étant dans un bus. Y a-t-il encore un chauffeur dans le bus ? Beaucoup disent avoir un ange gardien. Mais nous avons besoin de plus : d’un Sauveur. Jésus, homme parmi les hommes, Fils de Dieu envoyé par son Père, s’est précipité, poussé par la compassion : il s’est livré lui-même à la mort pour nous sauver.
Célébrons-le, accueillons-le dans notre vie et vouons-lui une reconnaissance éternelle !
Francis Schneider
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Lecture proposée : Lettre à Tite, chapitre 3, versets 3 à 7.