Jésus m’invite

Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour vous-mêmes. Oui, mon joug est facile à porter et la charge que je vous impose est légère.
Matthieu 11.28-30

Seigneur, je suis découragé. Je suis seul et abandonné. Où trouver de l’aide ?
Mais tu dis à tous : Venez ! Tu m’invites donc aussi ! Tu dis : Venez à moi ! Tu ne m’invites pas à consulter un spécialiste de l’âme ou du corps ; tu ne me demandes pas d’adhérer à un système. Non, tu m’invites à m’approcher de toi.
Un lourd fardeau : c’est de moi que tu parles ! Je viens à toi, Seigneur, et tu m’accueilles les bras ouverts !
Prends, Seigneur, mes angoisses. Je te laisse ce lourd fardeau ! Je reçois ton divin repos.
Je choisis ton joug qui est doux plutôt que le joug oppressant du diable. Je reçois tes instructions, je veux y soumettre ma vie.
Je choisis ton fardeau qui est léger plutôt que le fardeau écrasant, destructeur du diable. Je veux renoncer à moi-même, à mon orgueil, à ma vanité.
Seigneur, toi le Créateur du monde, tu es doux, sans dureté ni hostilité, et tu es humble de cœur ! J’ai besoin d’un Sauveur comme toi ! Sois mon Berger et mon Ami pour toujours ! Seigneur, rends-moi semblable à toi : doux et humble de cœur !
Je reçois maintenant ta paix, ta joie et ton repos célestes.

Théophile Hammann

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Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 66, versets 12 à 14.

 

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