Ratage sans rattrapage

Et comme le sort de tout homme est de mourir une seule fois – après quoi il est jugé par Dieu.
Hébreux 9.27

Coupe du monde de foot : De vaillants outsiders sont parvenus à tenir en échec le prestigieux Portugal. Mais ils ont été battus, après la 90e minute ! Désespoir des Iraniens. Si près de la 8e de finale !
Examens de fin d’année scolaire : Joie extatique de ceux qui ont réussi. Blues de ceux qui ont raté. Moi, argh, aujourd’hui, j’ai raté le train, de peu ! Un synonyme de « rater son but », c’est… « pécher » !
Le buteur malchanceux a « péché » en ratant son but, et des lycéens ont péché par impréparation. Moi, c’est par nonchalance. Nous avons tous raté le but.
Bon, il y aura d’autres matchs, d’autres examens, d’autres trains. Mais il est un temps où il n’y a pas de rattrapage possible : après la mort !
Celui qui péchera par orgueil en se trouvant trop bien pour avoir besoin d’un Sauveur n’aura plus qu’à se frapper la poitrine : « Malheur à moi ! »
Battons plutôt notre coulpe (mea culpa) dès maintenant, et acceptons avec reconnaissance d’être sauvés par Jésus-Christ.

Francis Schneider

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Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 3, versets 12 à 15.

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