Nous nous sommes échappés comme l’oiseau du piège des oiseleurs : le filet s’est rompu, et nous nous sommes échappés.
Psaume 124.7
Avez-vous déjà observé un oiseau dans sa cage ? Il est certainement né dans cette cage, y a grandi et a pris ses habitudes. Pourtant, il n’en est pas moins prisonnier. Peut-il s’imaginer une vie en-dehors de la cage ? Ne connaissant que ça, il a peut-être fini par croire que c’est ça la vie, la liberté : faire ce qu’il veut, mais toujours enfermé…
Une fois que la porte de la cage s’ouvre, l’oiseau sort et s’envole librement, tout étourdi et heureux de découvrir de si vastes horizons qu’il n’avait jamais imaginés ! A présent, en-dehors de la cage, il ne peut plus concevoir une vie fade à l’intérieur de la prison qu’il a connue si longtemps.
Un jour, j’ai expérimenté la libération de mes fautes passées : le pardon accordé par Dieu m’a délivrée du poids de mes péchés. Légère comme l’oiseau sorti de sa prison, mon âme vit en pleine liberté. Pas cette liberté trompeuse qui entraîne au mal, mais celle de dépendre de Dieu et de lui plaire. Pas de comparaison entre le goût fugitif et amer du péché et les vastes et merveilleux espaces spirituels à découvrir. Oui, ça vaut la peine de connaître la vraie liberté en Jésus-Christ !
Martine Fleck
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Lecture proposée : Psaume 124