Je suis le premier et je suis le dernier, et hors moi, il n’y a point de Dieu.
Ésaïe 44.6
Il n’y a pas plusieurs dieux : ceux des bouddhistes, des hindouistes, celui de l’islam, celui des juifs et celui des chrétiens. Il y a celui qui se dit le commencement et la fin de tout ce qui existe, le premier et le dernier. Mais qui dit cela en ajoutant : « Hors moi il n’y a point de Dieu ». Le début de notre verset l’annonce : Ainsi parle l’Éternel, roi d’Israël et son rédempteur. Eh oui, que cela vous plaise ou non, le seul Dieu est le Dieu des Juifs. Et le salut vient d’eux. Cela, c’est Jésus qui l’a dit1. Mais, ce même Jésus n’a-t-il pas aussi dit qu’il est le premier et le dernier2, dans une vision que l’apôtre Jean a eue de lui et qu’il a eu pour vocation de rédiger ? On appelle ce livre : la Révélation, l’Apocalypse.
Y aurait-il donc deux premiers et derniers ? Bien sûr que non ! Mais la preuve est ainsi faite que Jésus était à la fois roi d’Israël, son Sauveur, et le Dieu unique, en dehors duquel il n’y en a point ! Pas d’autre ; mais qu’il soit béni ! s’il est le Sauveur d’Israël encore méconnu de son peuple, il est aussi venu pour les païens. Car c’est par amour de tous qu’il est venu offrir sa vie.
Le groupe « Les Témoins » chantait :
« Ton regard s’étonne, tu ne comprends pas :
Un roi qui pardonne, ça n’existe pas ».
Mais ils le savaient, ça existe. C’est le seul, l’Éternel qui, prenant notre nature, s’est appelé : Jésus, Sauveur.
Richard Doulière
1 Jean 4.22 2 Apocalypse 22.13
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Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 44, versets 1 à 8.