Elle a du prix aux yeux de l’Éternel, la mort de ceux qui l’aiment.
Psaume 116.15
Cette affirmation est une source d’encouragement pour tous ceux qui mettent leur confiance en Jésus-Christ. Savoir que nous avons une telle valeur pour notre Père céleste est très réconfortant. Nous sommes assurés que le Seigneur nous a vraiment préparé une place dans son Royaume éternel.
Nous pouvons être révoltés à la pensée de la mort, car elle n’était pas voulue par le Créateur lorsqu’il a donné vie à Adam et Ève. Dieu les avait créés comme des êtres libres et responsables. Il savait que le péché les priverait de sa communion et de la vie éternelle. Pourtant, tout bien considéré, aussi terrible que la mort puisse nous paraître, elle a au moins cette utilité de mettre fin aux souffrances humaines. Mais seul le chrétien peut être en paix à ce sujet, ayant la certitude d’être, à sa mort, en présence de son Sauveur. Quelle certitude ! Quelle consolation !
L’écrivain Albert Camus ne cachait pas son désarroi à la pensée de la mort : « Voici ma vieille angoisse, là au creux de mon corps, comme une mauvaise blessure que chaque mouvement irrite. Je connais son nom. Elle a peur de la solitude éternelle, crainte qu’il n’y ait pas de réponse ». Quel terrible aveu !
Lecteur, si vous pensez comme lui, sachez que si vous acceptez le Christ comme Sauveur, pour être pardonné et purifié de vos péchés, vous n’aurez plus à avoir peur de la mort.
Yves Perrier
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Lecture proposée : L’évangile selon Jean, chapitre 14, versets 1 à 3 et chapitre 17, versets 20-26.