Accueillez avec douceur la Parole qui a été plantée en vous et qui peut sauver votre âme.
Jacques 1.21
Nous sommes en 1874. Le pasteur Arnold Bovet distribue des Nouveaux Testaments en Lozère. Hélas, certaines personnes voient cette action d’un mauvais œil et jettent au feu les précieux livres !
Consternant ! «Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ! » a dû probablement prier ce serviteur de Dieu… Comment peut-on brûler le livre qui nous rapporte, dans les évangiles, les véritables paroles du Christ, source de vie éternelle ?
Heureusement, les temps ont changé et plusieurs papes ont autorisé les fidèles à lire la Bible. Ce livre, inscrit au patrimoine mondial de l’Humanité, le plus vendu et le plus traduit au monde, est aussi celui qui a été le plus combattu au cours des siècles ! Pourquoi ?
Une des raisons est qu’il est un miroir révélant le péché qui entache nos vies, et notre incapacité naturelle de respecter les dix commandements.¹
Pourtant, s’il pose un sombre diagnostic sur notre état de mort spirituelle, il nous donne aussi le remède divin : la Bonne Nouvelle de la venue du Sauveur, le Christ-Jésus. Le seul homme qui, après avoir accompli toute la Loi², a accepté de donner sa vie sainte en sacrifice pour le pardon de nos fautes.
Plutôt qu’ignorer ce miroir, osons nous regarder en face, pour ensuite nous confier en Celui qui a tout accompli !
Reynald Kuffer
¹ Exode 20.1-17 et Romains 3.9-19 ² Matthieu 5.17
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Lecture proposée : Lettre de Jacques, chapitre 1, versets 16 à 27.