Les derniers mots de philosophes

Tout va vers une même destination : tout a été tiré de la poussière et tout retourne à l’état de poussière.
Ecclésiaste 3.20

De nombreux philosophes athées ont pensé vivre mieux sans la foi en Dieu. Qu’ont-ils déclaré au terme de leur vie ?
Voltaire eut une fin tellement épouvantable que l’infirmière placée à son chevet a déclaré qu’elle ne voudrait pas assister encore une fois à l’agonie d’un incroyant, même pour tout l’or du monde. Voltaire avait en effet imploré le pardon de Dieu en criant toute la nuit.
Dans un désespoir terrible, David Hume cria : « Je suis dans les flammes. »
Hobbes dit : « Je dois franchir ce pas redoutable qui me conduira dans les ténèbres. »
Goethe mourut en demandant « de la lumière ».
Henri Heine, par contre, moqueur qui changea d’attitude au cours de sa vie, écrivit un poème implorant humblement le pardon de Dieu.
La question la plus importante que nous puissions nous poser est celle du sens de la vie. Nous n’en avons qu’une, alors ne nous trompons pas !
Dans la lecture proposée, un philosophe nous fait part de sa réflexion au terme de sa vie. La conclusion de Salomon, connu dans le monde antique pour sa sagesse1, rejoint ce que Dieu a formulé dès la création de l’homme. La vie humaine se termine par un retour à son origine : la poussière2.
Si nous cherchons dans la vie humaine son propre sens, nous n’arriverons à rien. C’est pourquoi : écoutons Dieu !

Jean-Louis Théron

1 1 Rois 5.10-14          2 Genèse 3.19

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Lecture proposée : Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 3, versets 18 à 22.

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