Nous vous en supplions, au nom du Christ : Soyez réconciliés avec Dieu. (Autre traduction : Laissez-vous réconcilier avec Dieu.)
2 Corinthiens 5.20
Il serait difficile de prendre Guy Bedos au sérieux. Mais n’a-t-il pas raison d’écrire que « le vrai plaisir de la dispute, c’est la réconciliation » ? Il y a, entre Dieu et les hommes, une rupture qui ne s’exprime même pas en désaccord, mais en indifférence, pire que la dispute ! Dieu a tout fait pour rendre possible la réconciliation.
Il s’est incarné, venant parmi nous, se faisant semblable à nous afin de vivre et mourir en notre faveur. Seule manière dont il pouvait nous tendre la main, nous offrir le pardon en vue d’une totale réconciliation.
Pourquoi les humains sont-ils donc si peu nombreux à saisir cette chance extraordinaire ? La dispute, le froid de l’indifférence sont-ils plus agréables que l’accord, l’amour réciproque, la paix d’une réconciliation ?
Prenons le temps de nous interroger. Si cette réconciliation qui a coûté un tel prix au Créateur, nous ne l’avons pas acceptée jusqu’à présent, quelle en est la raison ? Serait-ce trop beau pour que nous y croyions ? Serait-ce trop facile à nos yeux ? Sommes-nous trop orgueilleux pour nous en saisir et dire « Merci » ? Quoi d’autre ? La peur de devoir renoncer à nos fausses joies ?
Ne laissons pas passer l’occasion de régler le présent et l’avenir. Ils dépendent de notre réponse.
Richard Doulière
__________________ Lecture proposée : 2ème Lettre aux Corinthiens, chapitre 5, versets 17 à 21.
Si Guy Bedos avait raison
Nous vous en supplions, au nom du Christ : Soyez réconciliés avec Dieu. (Autre traduction : Laissez-vous réconcilier avec Dieu.)
2 Corinthiens 5.20
Il serait difficile de prendre Guy Bedos au sérieux. Mais n’a-t-il pas raison d’écrire que « le vrai plaisir de la dispute, c’est la réconciliation » ? Il y a, entre Dieu et les hommes, une rupture qui ne s’exprime même pas en désaccord, mais en indifférence, pire que la dispute ! Dieu a tout fait pour rendre possible la réconciliation.
Il s’est incarné, venant parmi nous, se faisant semblable à nous afin de vivre et mourir en notre faveur. Seule manière dont il pouvait nous tendre la main, nous offrir le pardon en vue d’une totale réconciliation.
Pourquoi les humains sont-ils donc si peu nombreux à saisir cette chance extraordinaire ? La dispute, le froid de l’indifférence sont-ils plus agréables que l’accord, l’amour réciproque, la paix d’une réconciliation ?
Prenons le temps de nous interroger. Si cette réconciliation qui a coûté un tel prix au Créateur, nous ne l’avons pas acceptée jusqu’à présent, quelle en est la raison ? Serait-ce trop beau pour que nous y croyions ? Serait-ce trop facile à nos yeux ? Sommes-nous trop orgueilleux pour nous en saisir et dire « Merci » ? Quoi d’autre ? La peur de devoir renoncer à nos fausses joies ?
Ne laissons pas passer l’occasion de régler le présent et l’avenir. Ils dépendent de notre réponse.
Richard Doulière
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Lecture proposée : 2ème Lettre aux Corinthiens, chapitre 5, versets 17 à 21.
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