L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.
Ézéchiel 18.20
J’ai été victime de trois dégâts des eaux et d’un cambriolage avec tous les désagréments que ces évènements peuvent engendrer. Lors de ma déclaration, la secrétaire m’a fait remarquer que ces quatre évènements étaient intervenus dans un laps de temps relativement court. Le bureau national pouvait décider de ne plus m’assurer en raison d’une convention nationale établie entre les compagnies.
Je ne connais pas cette disposition, et n’en comprends toujours pas le bien-fondé. Étant donné mes bonnes relations avec le personnel de l’agence, je me suis permis de faire remarquer à mon interlocutrice que la Bible, la Parole de Dieu, ne connaissait pas un tel raisonnement. Elle est logique dans tous les domaines de notre vie, contrairement à certaines conventions humaines. Ainsi elle ne nous réserve pas de surprises.
Dieu déclare en toute logique, dans le livre du prophète Ézéchiel : L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. L’apôtre Paul reprend cette affirmation dans sa lettre aux Romains : Chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même ¹.
Jack Mouyon
¹ Romains 14.12
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Lecture proposée : Livre du prophète Ézéchiel, chapitre 18, versets 14 à 18.