Tout homme est comme l’herbe des prés, toute gloire humaine comme la fleur des champs. L’herbe sèche et sa fleur tombe, mais la Parole du Seigneur demeure éternellement.
1 Pierre 1.24-25
Nous avons exprimé notre gratitude pour le don précieux qu’est le bon fonctionnement de notre organisme et une bonne santé. Quel secours cela représente pour faire face aux nombreux défis de la vie !
Mais reprenons ces deux affirmations :
Quand la santé va, tout va, vraiment ?
J’aimerais bien donner raison à cet adage, mais…
– combien d’accidents, de divorces, de tromperies, vécus douloureusement par des personnes pourtant en excellente santé !
– et, inversement, que de témoignages rayonnants de bonheur et de paix, émanant de grands malades, d’infirmes, de gens grabataires !
Alors, l’essentiel, c’est vraiment la santé ?
Nous constatons, sans pouvoir l’expliquer, que la santé est un don très inégalement réparti. Certains ne semblent jamais malades, ou rarement, alors que la vie d’autres paraît émaillée de terribles souffrances.
– Si pour ces derniers, l’essentiel, c’est la santé, hélas, ils ne connaîtront jamais le bonheur.
– Quant aux premiers, si la santé est leur seul bien, ils risquent de mourir vigoureux, mais sans amour, sans paix, sans assurance de vie éternelle avec Jésus, quel dommage !
Et si nous disions : « L’essentiel, c’est de connaître mon Sauveur et de savoir qu’il m’aime et m’attend » ?
Claude Schneider
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Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 40, versets 6 à 10.