Si Christ n’est pas ressuscité, alors notre prédication est vaine, et votre foi aussi est vaine.
1 Corinthiens 15.14
Un documentaire concernant 1660 soldats australiens tués le même jour dans le nord de la France pendant la Première Guerre mondiale était touchant. Personne ne savait où les morts avaient été enterrés. Finalement, des archéologues ont découvert leurs restes. Un nouveau cimetière a été créé : un lieu de sépulture correct.
Au Proche-Orient, la découverte de tombes est assez fréquente. On en a trouvé une à Jérusalem qui portait l’inscription « Jacques, frère de Jésus, fils de Joseph ». Cela a fait la une de plusieurs magazines.
Certains ont alors commencé à rêver : « Et si un jour on trouvait un tombeau portant le nom de Jésus ? » Évidemment, ces personnes n’acceptent pas le témoignage des évangiles que le Christ est ressuscité des morts et qu’il est vivant.
Au matin de Pâques, un ange a dit aux femmes venues embaumer son corps : « Il n’est pas ici ; en effet, il est ressuscité, comme il l’avait dit. »
Des preuves ? Les vies complètement bouleversées et changées de nombreuses personnes qui ont cru en lui et qu’il a sauvées. Une personne subitement délivrée de l’alcool ou de la drogue, une autre libérée de l’adultère ou de la haine, et cela quand Jésus est devenu le Maître de leur vie. Un miracle s’est opéré en elles par le seul qui soit capable de le produire : le Fils de Dieu, Jésus-Christ le vivant.
Pierre Wheeler
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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 28, versets 1 à 20.