Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier.
1 Jean 2.2
Suite à un traumatisme crânien ou un AVC, quand des cellules nerveuses sont privées d’oxygène, elles meurent irrémédiablement. La gravité des séquelles dépend de la région du cerveau atteinte et des fonctions qu’elle contrôle. Toutefois, des recherches ont montré que le cerveau a une certaine capacité d’adaptation. Des cellules nerveuses saines réussissent parfois à prendre la relève des cellules mortes si elles sont stimulées par divers exercices. Ce fait, par lequel une région saine prend le relais d’une région lésée, s’opère via des connexions entre certaines régions du cerveau et certaines fonctions psychiques. Cette faculté d’un organe sain à suppléer à l’insuffisance fonctionnelle d’un autre organe s’appelle « le phénomène de vicariance ».
Il me rappelle l’Évangile ! Quand nous faisons le mal, nous enfreignons la loi divine inscrite dans notre conscience. La communion avec Dieu, notre Créateur, est rompue. La santé de notre âme est mortellement entaillée. Toutefois, dans son amour, Dieu a instauré une vicariance à notre culpabilité. Il a donné son Fils comme victime expiatoire à notre place. Par la foi en Jésus crucifié et ressuscité, le pécheur repentant obtient le pardon, la guérison de son âme et la paix avec Dieu¹.
Dominique Moreau
¹ Romains 5.1
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Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 1, versets 12 à 23.