La crainte de l’Éternel est le commencement de la connaissance.
Proverbes 1.7
Quelqu’un a dit cette jolie phrase sur Christophe Colomb : « Il ne savait pas où il allait, ne savait pas où il était une fois qu’il y était, et il ne savait pas où il avait été une fois qu’il était de retour. » Pourquoi ? Il avait embarqué avec une mauvaise carte ! Lorsqu’il partait de l’Espagne en 1492, il était sûr de trouver une nouvelle route vers les Indes et il en était aussi sûr parce que sa carte du monde ne correspondait pas à la réalité.
Et notre carte ? Nous déterminons notre conduite selon ce que nous prenons pour être la réalité, mais dans la plupart des cas, notre comportement est déficient parce que ce que nous savons par la Bible n’a pas été intégré à notre approche pratique de la vie. Notre carte n’a pas été corrigée.
Jésus est le seul à avoir vécu avec une carte de la réalité exacte à 100%. De ce fait, sa conduite était très différente de celle des Juifs de l’époque. Il voyait les choses autrement. La vérité faisait de lui quelqu’un de libre.
Salomon avait appris que pour commencer à corriger nos cartes, il fallait commencer à craindre l’Éternel. Ce serait le début d’une vraie connaissance et d’une nouvelle liberté.
Pour nous, cette crainte, c’est d’accepter la carte de Jésus comme la nôtre. Et de déterminer notre conduite selon cette carte. Nous saurons alors où nous devons aller et comment y arriver.
Egbert Egberts
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Lecture proposée : Livre des Proverbes, chapitre 1, versets 1 à 9.