Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Jean 3.16
Thierry, dont les parents tenaient une boucherie-charcuterie, avait une nourrice, chez qui il lui arrivait d’écouter ce chant pour enfants : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique ». Un jour, le bambin a spontanément entonné : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné une saucisse ». Lapsus qui a fait rire tout le monde ! Pour l’enfant, par le biais de la ressemblance phonétique, il n’y avait rien d’anormal dans l’idée de donner une saucisse…
Notre raison a du mal à comprendre que Dieu puisse donner son Fils pour nous. Cependant, il ne s’agit pas d’une affaire intellectuelle, mais de foi. Un chant populaire dit à propos du Christ : « Ton regard s’étonne, tu ne comprends pas. Un roi qui pardonne, ça n’existe pas. Un roi qui s’incline devant ses sujets ; couronné d’épines, à toi de juger… »
En effet, à la croix nous avons la preuve de cet amour stupéfiant de Dieu. Il a offert ce qu’il avait de plus précieux, pour établir une relation avec nous : il fallait une mort innocente pour racheter nos vies coupables.
Thierry a grandi. Mais un jour, beaucoup trop jeune, il a péri dans un accident de voiture. Quelle tragédie ! Seule l’espérance qu’il ait accepté le salut de Dieu en Christ peut adoucir la douleur de ses proches. La question se pose pour chacun…
Isabelle Kozycki
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Lecture proposée :
Livre de l’Apocalypse, chapitre 21, versets 1 à 6.