L’Éternel Dieu planta un jardin en Eden […] et il y mit l’homme qu’il avait formé.
Genèse 2.8
Dans le comté vallonné de Cornouailles, en Angleterre, Tim Smit a planté son « Eden Project » sous d’énormes dômes translucides. La Commission Milléniale de Grande Bretagne lui versa 60 millions de dollars. L’Union Européenne à Bruxelles presque autant. « Eden Project » est devenu une énorme attraction touristique.
Le but ? Montrer que l’homme doit vivre en symbiose avec le règne végétal. Smit a-t-il ainsi recréé le paradis terrestre, rêve de l’humanité entière ? Malgré les 4000 plantes en provenance de tous les coins du globe, tout n’y est pas parfait, car l’innocence du premier homme en Éden ne sera jamais retrouvée. Infailliblement, le mal y germera, car il est dans le cœur de tout homme.
Si le paradis terrestre est perdu à tout jamais, la Bible promet pourtant un bienfait formidable d’un autre ordre. Il est réservé à chaque homme, femme, jeune ou enfant qui est dégoûté du mal qui se trouve en lui.
Il s’agit du pardon de ce mal qui nous tenaille. Ce pardon est réservé uniquement à la personne qui veut en finir et qui accepte personnellement Jésus-Christ comme son Sauveur et Maître.
Le paradis céleste peut alors commencer sur terre.
Pierre Wheeler
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Lecture proposée :
Livre de la Genèse, chapitre 2, versets 1 à 9.