« Je reconnais maintenant que tu es un homme de Dieu et que la parole de l’Éternel, dans ta bouche, est la vérité. »
1 Rois 17.24
La veuve de Sarepta et son fils avaient vécu, jour après jour et pendant bien longtemps, du peu de farine d’un seul pot et du peu d’huile d’une seule cruche. Pourtant, cette veuve n’était pas encore convaincue qu’Élie – qui le lui avait clairement prédit au nom de l’Éternel -fût un homme de Dieu ! Il fallut que son fils meure et que le prophète le lui rende vivant pour qu’elle le reconnaisse. Étrange, vous ne pensez pas ?
Il est vrai qu’il avait d’abord fallu qu’elle reconnaisse son péché ? nous ignorons lequel.
Et nous, que nous faut-il pour croire vraiment au pouvoir de Dieu et à sa présence aimante ? Ses bienfaits journaliers, la somme incroyable des détails qui nous cernent et sans lesquels nous n’existerions tout simplement pas ; ses interventions quotidiennes en notre faveur ? pour ne pas en dire plus ? ne suffisent-ils pas à nous convaincre ? Nous faut-il la mort et la résurrection de l’un de nos proches ?
Celles de Jésus ne suffisent-elles pas pour nous convaincre de la réalité de la révélation et de ses promesses ? N’est-ce pas assez pour rendre notre foi inébranlable et conquérante, capable de nous transformer et faire de nous des vainqueurs ? Bien sûr, nous ne l’avons pas vu vivant. Mais ils sont tant de témoins à attester l’avoir vu ! Leurs témoignages ne sont-ils pas suffisants ?
Richard Doulière
__________________ Lecture proposée :
1er livre des Rois, chapitre 17, versets 8 à 24.
Que nous faut-il pour croire ?
« Je reconnais maintenant que tu es un homme de Dieu et que la parole de l’Éternel, dans ta bouche, est la vérité. »
1 Rois 17.24
La veuve de Sarepta et son fils avaient vécu, jour après jour et pendant bien longtemps, du peu de farine d’un seul pot et du peu d’huile d’une seule cruche. Pourtant, cette veuve n’était pas encore convaincue qu’Élie – qui le lui avait clairement prédit au nom de l’Éternel -fût un homme de Dieu ! Il fallut que son fils meure et que le prophète le lui rende vivant pour qu’elle le reconnaisse. Étrange, vous ne pensez pas ?
Il est vrai qu’il avait d’abord fallu qu’elle reconnaisse son péché ? nous ignorons lequel.
Et nous, que nous faut-il pour croire vraiment au pouvoir de Dieu et à sa présence aimante ? Ses bienfaits journaliers, la somme incroyable des détails qui nous cernent et sans lesquels nous n’existerions tout simplement pas ; ses interventions quotidiennes en notre faveur ? pour ne pas en dire plus ? ne suffisent-ils pas à nous convaincre ? Nous faut-il la mort et la résurrection de l’un de nos proches ?
Celles de Jésus ne suffisent-elles pas pour nous convaincre de la réalité de la révélation et de ses promesses ? N’est-ce pas assez pour rendre notre foi inébranlable et conquérante, capable de nous transformer et faire de nous des vainqueurs ? Bien sûr, nous ne l’avons pas vu vivant. Mais ils sont tant de témoins à attester l’avoir vu ! Leurs témoignages ne sont-ils pas suffisants ?
Richard Doulière
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Lecture proposée :
1er livre des Rois, chapitre 17, versets 8 à 24.
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