« No man’s land »

L’Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l’homme […] Il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul.
Psaume 14.2-3

Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays… mais je n’en trouve point.
Ézéchiel 22.30

Dieu ne trouve personne qui agit comme lui voudrait que les humains se comportent. Et, à l’époque de la ruine de Jérusalem, il cherche un seul juste qui intercède pour le peuple, et ne le trouve pas. C’est la faillite complète de l’humanité. La terre était un « no man’s land » spirituel !

Alors il va lui-même être en Jésus-Christ celui qui élève une protection, qui comble la brèche du péché, et qui intercède en faveur de l’humanité.

L’Éternel voit… qu’il n’y a pas un homme, il s’étonne que personne n’intercède ; alors son bras lui vient en aide, et sa justice lui sert d’appui. Il se revêt de la justice… et met sur sa tête le casque du salut.1

Le Christ représente le bras de l’Éternel, mais le prophète Ésaïe a annoncé qu’il ne serait pas reconnu : Qui a reconnu le bras de l’Éternel ?2

C’est en Jésus-Christ que Dieu a trouvé l’homme parfait, l’homme qui intercède pour les coupables, le vrai homme selon son cœur, qui ira jusqu’à s’offrir lui-même pour accomplir son plan d’amour. Jésus marque la fin du « no man’s land » spirituel, à la fois par sa vie, et par ses rachetés à qui il donne la vie éternelle.

Francis Rivère

1 Ésaïe 59.15-17
2 Ésaïe 53.1

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Lecture proposée :
Livre du prophète Ésaïe, chapitre 53, versets 1 à 12.

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