Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux.
Ecclésiaste 3.1
Notre perception du temps est subjective et relative, courte ou interminable suivant les circonstances et l’âge. Nous aimerions parfois nous en libérer, en freinant sa fuite ou en l’accélérant, voire en le multipliant. Jésus, bien que Fils de Dieu, n’a jamais cédé à ce genre de tentation.
Dieu n’est pas tributaire du temps. Il n’est pas lié à son déroulement. Il est éternel, n’a ni commencement ni fin. Il embrasse à la fois le présent, le passé et l’avenir. Il sait toutes choses avant même qu’elles arrivent.
Nous changeons avec l’âge, les crises, les expériences ; et autour de nous tout change, nature, hommes, choses. Dieu, lui ne change pas, il ne vieillit pas. Aujourd’hui il est aussi fidèle que hier et il le sera encore demain.1
Est-ce à dire que Dieu ignore que nous, les humains vivons dans le temps ? Pas du tout. Ses interventions, dans la vie de l’humanité, son plan du salut s’y inscrivent. Au temps marqué, il a fait naître le Christ. L’époque de sa mort était aussi programmée par Dieu. Chaque prophétie biblique a vu ou verra son accomplissement en son temps.
Alors, assumons sereinement notre condition humaine encadrée par les contraintes du temps. Si nous avons accepté Christ comme Sauveur, nous partagerons avec lui l’éternité. Est-ce notre ferme espérance à tous ?
Charles Rick
1 Hébreux 13.8
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Lecture proposée :
Livre de l’Ecclésiaste chapitre 3.