Que je meure de la mort des justes, et que ma fin soit semblable à la leur !
Nombres 23.10
Avez-vous déjà entendu parler de « thanatologie » ? Encore une nouvelle thérapie ? Pas vraiment, car il ne s’agit pas d’une méthode pour guérir, mais de la science… du « bien-mourir » !
Sully Prudhomme, le poète du « Vase brisé » aimait beaucoup la musique. Il avait exprimé ses dernières volontés ainsi :
« Vous qui m’aiderez dans mon agonie.
Ne me dites rien.
Faites que j’entende un peu d’harmonie
Et je mourrai bien. »
Est-ce vraiment cela, bien mourir ? N’est-il pas de beaucoup préférable de faire connaître le secret de la préparation à la meilleure des fins terrestres : la préparation à la rencontre du Seigneur de nos vies ? La Bible dit : Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu. ¹
Pour bien mourir, il faut que le pécheur, c’est-à-dire chacun de nous, se réconcilie avec son Dieu : qu’il se repente de ses péchés, et ouvre pleinement son cœur à Jésus. Car Jésus est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Il suffit que le pécheur croie au sacrifice expiatoire du Christ sur la Croix, à la puissance de sa résurrection. Alors, déclaré juste par la foi malgré son injustice passée, il a la paix avec Dieu, par son Seigneur Jésus-Christ². Sa fin sera alors celle des justes, promus à la Gloire céleste.
Lucien Clerc
¹ Amos 4.12
² Romains 5.1
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Lecture proposée : 2ème lettre aux Corinthiens, chapitre 5, versets 1 à 10.