La culture du secret

Il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu.
Luc 12.2

Les affaires d’immoralité étalées au grand jour par les médias et les réseaux sociaux devraient nous rappeler que notre vie n’est pas cachée devant Dieu. Tout ce que nous aurons dit et fait au cours de notre vie sera un jour dévoilé. Mensonges, tromperies, vols, infidélités, incestes, adultères et autres iniquités, seront dévoilés au jour du jugement dernier, à moins de nous en être repentis ! Chacun d’entre nous aura à rendre compte à Dieu de ce qu’il aura fait au cours de sa vie.

La culture du secret a toujours existé, empoisonnant bien des familles. David, roi d’Israël, pensait pouvoir cacher son adultère et son meurtre. Pendant une année, il en fut tourmenté, jusqu’à ce qu’il s’en repente¹.

La culture du secret est une dissimulation, qui est un péché. Jésus a donc averti ses disciples pour qu’ils vivent dans la lumière et la vérité. L’Évangile est la lampe qui doit éclairer notre conscience et nous révéler nos péchés, nous poussant à nous repentir, afin d’être pardonnés. La Parole de Dieu dit : Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde ². Étant purifié, le chrétien aura cette assurance : Il n’y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ ³.

Yves Perrier

¹ 2 Samuel 11 et Psaume 32
² Proverbes 28.13
³ Romains 8.1

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Lecture proposée :
Évangile selon Luc, chapitre 12, versets 1 à 15.

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