Éternel, puisque tu m’as sauvé, nous ferons résonner les cordes de nos instruments, tous les jours de notre vie, près de la maison de l’Éternel.
Ésaïe 38.20
Depuis 1982, le 21 juin est la fête de la musique. Le directeur de la musique et de la danse avait été chargé par le ministre de la culture de réfléchir sur la pratique musicale. À cette époque, un jeune sur deux jouait d’un instrument de musique, mais les manifestations musicales ne concernaient qu’une minorité des Français. D’où la fête, placée le jour du solstice d’été, et ouverte à tous.
Dans la lecture proposée, nous sommes invités à louer Dieu à l’aide de la musique et des danses, et aussi du chant.
Le roi Ézéchias, qui a écrit le chant cité dans le verset d’aujourd’hui, avait été miraculeusement guéri d’une grave maladie. Il souhaitait donc exprimer sa reconnaissance à Dieu.
Lors d’une interview, le romancier Eric-Emmanuel Schmitt a déclaré : « La musique nous aide à construire nos vies spirituelles, nous apaise, nous console, nous redonne de la joie, nous rend allègres, nous fait danser, chanter ».
Au ciel, des multitudes chanteront la gloire de Dieu1. Nous n’en avons pas la partition, mais nous avons déjà les paroles. Ce sera la plus grande fête de la musique ; elle est ouverte à tous.
J’aimerais être certain de vous retrouver dans cette chorale. Elle est composée de ceux qui ont été « rachetés de la terre 1 ».
Jean-Louis Théron
1 Apocalypse 14.2-3, 15.2-4
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Lecture proposée : Psaume 150.