Christ : une promesse vieille comme l’humanité elle-même

Je mettrai l’hostilité entre toi et la femme, entre ta descendance et sa descendance : celle-ci t’écrasera la tête et tu lui blesseras le talon.
Genèse 3.15

L’Éternel parle au « Serpent », cet animal reptilien qui a réussi à convaincre nos tous premiers ancêtres que Dieu pouvait mentir. Nous sommes au septième jour de l’Histoire de l’univers, et c’est déjà la promesse de la venue de Christ.

Il est défini comme la descendance de la femme : en effet, Jésus n’avait pas de père biologique, au sens où nous l’entendons, puisque Marie était vierge quand elle s’est retrouvée enceinte de lui.

Dans les Évangiles, il s’appelle lui-même le Fils de l’Homme, mais au sens élargi (le mot grec signifie plus généralement « humain »). Le mal lui blessera le talon, par le moyen des clous utilisés pour le crucifier ; mais lui, Christ, lui écrasera la tête. Dieu annonce que cette mort physique sera paradoxalement l’acte de défaite du Mal, du « Serpent ».

Toutes les conséquences de ses séductions sur l’humanité seront transférées de nous tous à Christ, seule option pour notre salut. Nos péchés, c’est-à-dire nos fautes, mourront avec lui… mais il ressuscitera sans elles, nous ouvrant la vie véritable et éternelle.

Lionel Cavan

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Lecture proposée : Lettre aux Romains,
chapitre 4, versets 24 et 25.

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