Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie.
Ésaïe 53.6
Très vite après son arrivée il y a un an, notre jeune chat s’est senti maître chez soi, enfin chez nous, et a colonisé tous les espaces de la propriété ! Il n’a rien créé et ne participe à aucune tâche ménagère. Revendicatif, ça ne le gêne pas de dépendre de nous pour son gite et son couvert !
Et nous, nous approprions-nous tous les bienfaits dont nous jouissons d’une manière aussi cavalière ? Réalisons que nous habitons en quelque sorte… chez Dieu ici-bas, et remercions-le pour tous les signes de sa bonté et de son amour dans notre vie !
Notre chat est très affectueux, prodiguant et quémandant force signes de tendresse. Ce n’est pas pour autant qu’il se soucie de notre bien-être. Il nous offre bien de temps en temps fièrement… une souris, mais c’est pour être félicité ! Parfois, il nous suit partout où nous allons, mais si nous l’appelons, il fait la sourde oreille ! (Il n’est pas un chien !)
Quant à nous, il est fort possible d’accomplir avec zèle un certain nombre de rites dans l’espoir subjectif d’être approuvés de Dieu, sans pour autant prêter attention à sa volonté révélée dans la Bible, et sans que Jésus-Christ soit notre Sauveur et notre Seigneur. Abandonnons cette mentalité de chat face à Dieu, répondons à son amour et à son pardon, soumettons-lui notre cœur, et nous serons unis à lui pour toujours !
Claude Schneider
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Lecture proposée : Livre d’Ézéchiel,
chapitre 36, versets 25 à 29.