Mon âme célèbre la grandeur du Seigneur et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur.
Luc 1.46-47
Le 15 août est une fête en l’honneur de la « Vierge Marie », mère de Jésus-Christ. C’est l’occasion de parcourir le Nouveau Testament pour savoir qui elle était.
Marie reçoit les révélations de l’ange Gabriel, et visite sa cousine Élisabeth enceinte de Jean-Baptiste. Elle est consciente de vivre l’expérience exceptionnelle de donner naissance, de manière surnaturelle, au Sauveur des hommes. Elle élève Jésus avec le souci qu’ont toutes les mères. Elle demande à Jésus de faire un miracle lors des noces de Cana. Elle est au pied de sa croix quand Jésus la confie à l’apôtre Jean, comme on le faisait à l’époque pour protéger les veuves. Elle prie avec les disciples en attendant la venue du Saint-Esprit¹.
Nous voyons que Marie était une femme admirable par sa foi, comme l’indique son cantique (voir lecture proposée).
Nous n’avons pas dans la Bible d’autres indications allant dans le sens d’un statut ou d’une destinée hors du commun de Marie. C’est une femme qui est restée dans la simplicité, alors même que son obéissance a permis au Dieu incarné de venir accomplir sa mission de salut.
Comme Marie, reconnaissons la puissance de Dieu pour sauver, par la mort de son Fils Jésus-Christ sur la croix.
Comme Marie, réjouissons-nous en Dieu, notre Sauveur.
Jean-Louis Théron
¹ Luc 2.41-52, Jean 2.1-6, Jean 19.25-27, Actes 1.12-14
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Lecture proposée : Évangile selon Luc,
chapitre 1, versets 26 à 56.