C’est du vent !

Vanité des vanités, tout est vanité.
Ecclésiaste 1.2

Ce jour-là, je lis le bulletin de liaison de la Fédération Française de Pêche à la mouche. Je découvre l’article d’un auteur qui signe sous le pseudonyme «Sabetz paski », ce qui signifie : vous ne savez pas qui je suis. Bon…

L’article relate le récit d’un dialogue avec un confrère pêcheur. Ce dernier lui explique qu’il pêche en remontant le courant, équipé d’une soie auto flottante ; il pratique la pêche à la mouche sèche.

Tout cela avec des termes anglais, ce qui donne un tout un peu pédant à l’article en question. Mais, tout en parlant, il ne remarque pas qu’une truite a gobé sa mouche artificielle. Il ferre à vide. Raté !

L’auteur poursuit son récit : « Là, il a prononcé un mot, bien français, un simple mot qui m’a aidé à comprendre que tout ce que j’avais entendu auparavant n’était que vanité. »

De même que le langage pédant de ce confrère, qui l’a conduit à l’échec, la vie sur Terre sans Dieu n’est que poursuite du vent, car tout se termine par la mort. C’est le thème du livre de l’Ecclésiaste, rédigé par le roi Salomon. La conclusion à laquelle arrive Salomon est que seul Dieu, par sa Parole, nous offre une autre issue qui donne sens à notre existence.

Ne passons pas à côté du but de l’existence : rencontrer Jésus-Christ. Ainsi, au lieu de poursuivre le vent, nous pourrons faire… mouche !

Francis Praline

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Lecture proposée : Livre de l’Ecclésiaste, chapitre 12, versets 6 à 14.

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