Toute l’Égypte fut dévastée par les mouches.
Exode 8.20
Arrivé en fin de bail pour notre location d’appartement, j’ai dû procéder à la remise des clés au début de l’été. À peine arrivé, le mandataire de la gérance s’est rendu près de la baie vitrée de notre salon. Il m’a alors déclaré : « Il y a beaucoup de mouches ici, c’est signe de malheur ». J’en étais tout abasourdi ! Après un court moment d’hésitation, me référant à la quatrième plaie qui avait frappé les Égyptiens, je lui ai demandé s’il avait lu la Bible, ce qu’il m’a confirmé. Je lui ai alors fait remarquer que, si pour Pharaon et les Égyptiens cela avait été le cas, en revanche le peuple de l’Éternel avait été épargné. S’en est suivi alors un échange à propos de ses croyances.
En le quittant, je lui ai donné mon témoignage, décrivant ma prise de conscience d’avoir eu trop longtemps un cœur insensible à la réalité d’un châtiment et de la nécessité de nous confier en Dieu pour le salut.
D’ailleurs, dans la lecture proposée qui relate ce jugement par les mouches, Dieu indique qu’il veut libérer son peuple, qu’il veut mettre à part les croyants, et il écoute même la prière de Moïse demandant d’éloigner les mouches. C’est l’homme qui, par son endurcissement, rejette la grâce de Dieu et provoque sa colère.
Accordons du crédit à la Parole de Dieu. Elle décrit des jugements de Dieu, mais elle proclame avant tout que Jésus était le Sauveur envoyé par Dieu.
Guy Gentizon
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Lecture proposée : Livre de l’Exode,
chapitre 8, versets 16 à 28.