Notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère (de Dieu)…
Éphésiens 2.3
Un scorpion traverse une rivière sur le dos d’une grenouille. Mais voilà qu’il plante profondément son aiguillon dans le dos de son transporteur dévoué. Paralysée, la grenouille coule.
Elle crie : « Mais pourquoi as-tu fait ça ? Nous allons mourir tous les deux ! » Réponse du scorpion : « Parce que c’est dans ma nature ! »
Connaissez-vous ces comportements qui échappent à notre contrôle, et qui sont même contraires à nos intérêts ? Qu’est-ce qui nous prend quand nous distribuons autour de nous ces furieux « coups de dard » que nous regrettons aussitôt ? Pourquoi nous nuire par nos excès de nourriture inappropriée ou par nos addictions irrépressibles ? Et pourquoi certains refusent-ils de façon si délibérée la grâce de Dieu offerte en Jésus-Christ, s’exposant ainsi à couler sous le poids de leurs péchés non pardonnés et d’être entraînés dans la perdition éternelle ?
La Bible nous montre que le mal est hélas dans notre nature pécheresse ! Nous ne pouvons nous en défaire. Heureusement que Jésus-Christ nous a acquis la libération de cet esclavage intérieur ! Comment cela ? En croulant lui-même à la croix sous le poids de notre péché. Époustouflant !
Claude Schneider
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Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens,
chapitre 2, versets 1 à 10.