Le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu pour eux, c’est qu’ils soient sauvés!
Romains 10.1
Au fil des époques, le jour de l’An a été célébré le 1er mars, le 1er avril ou le 1er janvier. Pendant la Révolution, le 22 septembre fut proposé avec effet rétroactif : ceci explique qu’il eut peu de succès.
De nos jours, d’autres pays ou cultures célèbrent le nouvel An mi-janvier, fin janvier, lors du printemps, au 15 avril ou même en septembre.
Même s’il est conventionnel, le premier jour de l’année est l’occasion de méditer utilement sur la fuite du temps, et sur la manière de l’employer.
On prête à Abraham Lincoln la déclaration suivante : « Ce ne sont pas les années qui comptent dans votre vie, mais la vie dans vos années. »
Que restera-t-il de l’année qui vient de se terminer ? Chacun connaît des joies et des déceptions au cours de sa vie, mais les auteurs du calendrier veulent souligner la fidélité de Dieu à leur égard. Nous souhaitons dire à nos lecteurs que cette fidélité s’exerce envers tous ceux qui ont mis leur confiance en lui, en reconnaissant que l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ sur la croix les a faits passer de la mort à la vie.
Oui, comme le dit Lincoln, ce qui compte c’est la vie. Au delà des vœux traditionnels et des résolutions vite oubliées, le vœu des auteurs de ce calendrier est que chacun des lecteurs puisse saisir la vie au cours de cette année qui vient.
Jean-Louis Théron
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Lecture proposée : Livre du prophète Ésaïe, chapitre 40,
versets 1 à 11.