Est-ce grâce à ton intelligence que l’épervier prend son vol et déploie ses ailes en direction du sud ? Est-ce sur ton ordre que l’aigle royal prend de la hauteur et place son nid sur les sommets ?
Job 39.26-27
Vous avez dû observer comment volent les oies sauvages, mais aussi les canards et les flamants roses. Ils sont disposés en forme de « V », en restant à une distance bien précise les uns des autres. Ceci permet à chaque oiseau d’utiliser une portance optimale générée par l’oiseau qui le précède.
Airbus, à la recherche de solutions pour limiter l’émission de gaz à effet de serre, s’est inspiré de ce « couloir » créé par l’oiseau de tête pour faire voler deux A350 entre Toulouse et Montréal afin d’étudier le gain d’énergie. Ils se suivaient à 3 km de distance, l’un volant 300 m plus bas que l’autre. 5 % de carburant ont ainsi été économisés, ce qui est loin d’être négligeable. En effet, 60 000 litres de kérosène sont consommés entre Paris et la Guadeloupe…
Reconnaissons avec quelle sagesse Dieu a mis en place ces espèces d’oiseaux, leur a donné l’instinct et la solidarité nécessaire pour se mettre en place exactement de la bonne manière. Il faudrait beaucoup plus de foi pour croire que ceci soit le résultat du hasard et d’un grand nombre d’essais, que de croire en un acte créateur de Dieu !
Reconnaissons l’infinie sagesse des plans de Dieu, qui veut sauver tout être humain (voir lecture proposée).
Jean-Louis Théron
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 11,
versets 32 à 36.