Rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu.
Romains 8.38-39
Confinement. Un drôle de mot qu’on utilisait rarement sinon pour parler d’une atmosphère confinée. Entendez par là : une pièce mal aérée, qui sent le renfermé !
Mais avec la pandémie qui s’est abattue sur le monde entier en 2020, nous avons découvert une autre utilisation de ce mot. Nous nous sommes retrouvés enfermés, assignés à résidence pendant un temps plus ou moins long, et privés de certaines libertés. Heureusement, cela a suscité énormément d’inventivité pour rester reliés, se distraire, travailler, se cultiver, communiquer, faire du sport…
Parmi toutes ces idées, un petit poème m’a rejointe qui assure que tout n’est pas, ne peut pas être confiné ! Le soleil, les étoiles, les fleurs, les saisons ne sont pas confinés, tous continuent à briller, s’épanouir et se succéder. Les relations, les amitiés, les marques d’affection, la gentillesse, les discussions ne se sont pas éteintes non plus. Elles ont juste utilisé d’autres moyens de communiquer.
Bien plus précieuse encore, la prière qui monte du cœur et des lèvres jusqu’au ciel n’est pas restée confinée. L’espoir ne pouvait pas l’être. Quant au salut en Jésus et son amour pour nous, ils ne seront jamais confinés. Et ils n’auront pas de fin.
Louez l’amour de Dieu infiniment libre en lisant le psaume de la lecture proposée.
Sylvie Dugand
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Lecture proposée : Psaume 136.