Le voleur ne vient que pour voler, tuer et détruire. Moi, je suis venu, afin que les brebis aient la vie et qu’elles l’aient en abondance.
Jean 10.10
Un dimanche de Pâques, un pasteur américain arriva au temple avec des oiseaux dans une cage rouillée. Il raconta à son auditoire qu’il les avait achetés à un petit garçon le matin même, et précisa : « Quand je lui ai demandé ce qu’il faisait avec ces oiseaux, le gamin m’a répondu qu’il allait s’amuser un peu avec, voir à quoi ils ressembleraient après les avoir déplumés, puis qu’il les donnerait à manger à son chat ! »
Alors le pasteur lui a demandé combien d’argent il voudrait pour ces oiseaux. Le gamin était perplexe : « Mais Monsieur, ces oiseaux ont l’air vieux, ils ne sont pas beaux et en plus de ça ils ne chantent pas ! »
« Ça ne fait rien, vends-les moi ». Le pasteur a pris un billet dans sa poche et l’a donné au gamin. Les oiseaux ont retrouvé la liberté après la célébration.
Je ne sais pas si cette histoire est vraie ou si c’est une fiction, mais elle pourrait bien être une parabole. En effet, nous aussi, nous étions emprisonnés, malmenés, rabaissés… par le malin, appelé le voleur dans le verset ci-dessus. Mais Jésus, le bon berger, a payé de sa vie afin que nous soyons libérés.
A n’en point douter, quand Jésus est mort sur la croix, il pensait à toi et à ta libération !
Bernard Delépine
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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 10,
verset 9 à 11.