Père, j’ai péché contre le ciel et devant toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. […] il vint vers son père. Et comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers.
Luc 15.18,20
Quelle joie ! À l’aéroport, son père, sa mère, les jeunes de l’église étaient là, émus…
Ils étaient venus l’attendre une rose blanche à la main. Jamais elle n’aurait imaginé être l’objet d’un tel amour. Leurs bras ouverts disaient qu’ils avaient tiré un trait sur ses erreurs du passé. Le chemin qu’elle avait suivi quelques années auparavant était loin derrière elle.
La peine de prison qu’elle venait de purger lui avait permis d’ouvrir son cœur à ce Père céleste qui n’avait jamais cessé d’attendre le retour de son enfant ; et elle était en route vers la maison familiale. Elle comprenait maintenant l’amour de Celui qu’elle avait délaissé. Il l’avait tant protégée et elle avait à Ses yeux tant de prix. Une nouvelle vie commençait avec Lui.
Savez-vous que Dieu vous attend ? Savez-vous à quel point il vous aime ? Venez à lui aujourd’hui, venez sans tarder, goûter la joie de sa maison.
Marylène Soler
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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 15, versets 11 à 32.