La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités que l’on ne voit pas. Hébreux 11.1
George Bernanos écrit : « La foi ? C’est vingt-quatre heures de doute, moins une minute d’espérance. »
Une minute, c’est peu. Pourtant plus qu’il en faut pour transformer l’enfer en paradis, l’inquiétude en confiance, le doute en certitude. C’est pourquoi une minute d’espérance pèse plus que 24 heures de doute. Le doute est naturel, inévitable. Mais qu’il est lourd tant qu’il n’a pas cédé la place à l’espérance ! L’espérance, selon la Bible, n’est pas vague souhait ou espoir, mais élan de confiance qui transforme l’attente en certitude inébranlable et fait voir l’objet de la foi comme s’il était déjà là.
Aussi transformerai-je un rien la phrase de Bernanos : La Foi ? C’est 24 heures de doute mais une minute d’espérance. Ce “mais” change tout. Il nous est cependant impossible, tant nos doutes peuvent être pesants et prégnants. Mais Dieu désire le faire jaillir en nous pour dissiper et transfigurer tout le reste. Or, pour que cela devienne vrai, il suffit que nous le désirions du fond du cœur et que – l’instant d’une minute peut y suffire – nous nous abandonnions sans réserve à l’action divine. Car Dieu ne nous demande rien que de le laisser faire. Il veut pour nous délivrance, salut, bonheur, plus que nous les voulons nous-mêmes. Mais il faut que nous comprenions que Lui seul peut les accorder.
Richard Doulière
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 8, versets 18 à 25.
Une minute d’espérance
La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités que l’on ne voit pas. Hébreux 11.1
George Bernanos écrit : « La foi ? C’est vingt-quatre heures de doute, moins une minute d’espérance. »
Une minute, c’est peu. Pourtant plus qu’il en faut pour transformer l’enfer en paradis, l’inquiétude en confiance, le doute en certitude. C’est pourquoi une minute d’espérance pèse plus que 24 heures de doute. Le doute est naturel, inévitable. Mais qu’il est lourd tant qu’il n’a pas cédé la place à l’espérance ! L’espérance, selon la Bible, n’est pas vague souhait ou espoir, mais élan de confiance qui transforme l’attente en certitude inébranlable et fait voir l’objet de la foi comme s’il était déjà là.
Aussi transformerai-je un rien la phrase de Bernanos : La Foi ? C’est 24 heures de doute mais une minute d’espérance. Ce “mais” change tout. Il nous est cependant impossible, tant nos doutes peuvent être pesants et prégnants. Mais Dieu désire le faire jaillir en nous pour dissiper et transfigurer tout le reste. Or, pour que cela devienne vrai, il suffit que nous le désirions du fond du cœur et que – l’instant d’une minute peut y suffire – nous nous abandonnions sans réserve à l’action divine. Car Dieu ne nous demande rien que de le laisser faire. Il veut pour nous délivrance, salut, bonheur, plus que nous les voulons nous-mêmes. Mais il faut que nous comprenions que Lui seul peut les accorder.
Richard Doulière
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 8, versets 18 à 25.
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