Quand Dieu les a conduits à travers le désert, ils n’ont pas souffert de la soif car il a fait couler pour eux l’eau du rocher ; il a fendu le roc, et les eaux ont jailli.
Ésaïe 48.21
La forteresse russe de Sébastopol fut assiégée en 1827 par l’armée turque. Les assiégés repoussèrent vaillamment l’ennemi. Mais un autre adversaire inattendu prit le relais : le manque d’eau. La réserve d’eau douce était épuisée. Toute la végétation dépérit. Quelle décision prendre ? Se rendre à l’ennemi, ou bien mourir de soif ?
On vit alors les assiégés, dont plusieurs étaient des croyants, se jeter à genoux pour implorer le secours de Dieu. Leurs prières venaient à peine de se terminer qu’un éclair traversa le ciel au-dessus de leur camp. La foudre frappa violemment un rocher qui laissa couler un gros filet d’eau claire. Tous ces hommes purent se désaltérer suffisamment. Ils venaient d’assister, en direct, à l’exaucement de leur requête. Alors ils remercièrent Dieu pour cette délivrance miraculeuse.
Quand un malheureux crie, l’Éternel entend et le sauve de toutes ses détresses1. Quel encouragement à nous confier en Dieu et à croire qu’il est et reste le maître des circonstances et de nos vies !
Charles Rick
1 Psaume 34.6
__________________
Lecture suggérée : Livre de l’Exode, chapitre 17, versets 1 à 7.