Or, si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est une illusion, et vous êtes encore sous le poids de votre péché. 1 Corinthiens 15.17
Le besoin le plus profond de l’âme humaine est certainement de recevoir l’assurance d’un plein pardon. Beaucoup pourtant cherchent ce pardon comme résultat de leurs efforts : pénitence, pèlerinages, mortifications,…
Mais Jésus est venu et, ce pardon si vital, il l’a promis à la foi et en a payé le prix à la croix. Mais sur quelle base le croire ? Quelle preuve en a-t-il donnée ? La réponse est claire. En le ressuscitant des morts, Dieu a démontré que son message n’était pas trompeur et que nous pouvons le prendre au mot. Paul avait raison de dire que, s’il n’était pas ressuscité, notre foi serait vaine, illusoire : la plus tragique des illusions. Notre soif de pardon serait sans remède. Nous serions encore sous le poids de nos erreurs.
Grâces soient rendues à Dieu, Jésus est vivant ! Et, par sa mort, il a porté notre péché au point que, en réponse à notre confiance, Dieu peut ne plus s’en souvenir et même l’effacer à jamais. Voilà pourquoi la résurrection de Jésus est à la fois le fondement et le centre même de la Bonne Nouvelle, le cadeau le plus fantastique auquel nous puissions rêver, la réalité qui transforme nos désolations en nouveau départ.
Richard Doulière
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Lecture proposée : 1ère lettre aux Corinthiens, chapitre 15, versets 17 à 20.