Vouloir le bien est à ma portée, mais non l’accomplir.
Romains 7.18
Un jeune homme athée se plaignait de la conduite de certains chrétiens. Un chrétien lui répondit :
– Et lorsqu’un incroyant se conduit mal, cela vous étonne-t-il ?
– Non, je n’ai jamais pensé à cela.
– Vous voyez, vous reconnaissez vous-même que celui qui appartient à Jésus devrait être différent des autres. Sans le vouloir, vous faites au christianisme le meilleur des compliments !
On s’attend, en effet, à ce que celui qui professe suivre Jésus se conduise comme son Maître. À vue humaine, nous faisons certes de bonnes choses. Mais obéir aux exigences de Dieu est une autre histoire ! Aimer Dieu de tout notre cœur et notre prochain comme nous-mêmes, qui en est capable ? Notre nature soumise au péché nous entraîne dans une autre direction… Heureusement, lorsque Dieu demande quelque chose, il donne aussi la force de l’accomplir.
Quand quelqu’un croit en Jésus, il devient un enfant de Dieu et reçoit une nouvelle nature. Le Saint-Esprit va pénétrer sa vie et le renouveler1. Celui-ci le transforme profondément et le rend capable de vivre en harmonie avec la volonté de Dieu. Ce changement spirituel est tel que le croyant se détourne du péché. Il voit ses sentiments, pensées et intérêts renouvelés.
Et cela devrait se remarquer dans son comportement !
Françoise Lanthier
1 Tite 3.5
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 8, versets 1 à 9.