Mes pas sont fermes dans tes sentiers, mes pieds ne chancellent pas.
Psaume 17.5
Je ne sais plus qui a dit ceci :
– N’ayez pas peur de faire un grand pas, s’il le faut. On ne franchit pas un précipice en deux petits bonds.
Il est évident que le premier petit bond, insuffisant, ne nous conduirait, immédiatement, qu’au fond du gouffre.
On a pu parler, voici quelques années, de la politique des petits pas. Ce n’est pas ainsi que Dieu est venu vers nous. Alors que nous nous étions coupés de lui à toujours en nous adonnant au péché, qu’un abîme infranchissable nous séparait de lui, il est venu vers nous, lui-même, en nous donnant Jésus pour Sauveur. Et Jésus s’est adressé à tous les hommes de tous les temps lorsqu’il a dit : Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et vous trouverez du repos.1
Pour se diriger vers quelqu’un, il faut au moins faire un pas. Pour venir à Jésus, il faut faire un grand pas ; celui de la foi. Il nous faut nous détourner de tous nos précédents objectifs vers lesquels nous marchions, faire demi-tour et, par la foi, nous approcher de lui. Si vous n’avez pas fait ce pas si déterminant, faites-le maintenant, résolument. Donnez votre vie à celui qui veut être votre Sauveur. Ensuite, vos pas seront fermes dans les sentiers de la vie.
Lucien Clerc
1 Matthieu 11.28
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Lecture proposée : Psaume 17, versets 1 à 15.