Ou méprises-tu les richesses de sa bonté, de son support et de sa patience, sans reconnaître que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ? Romains 2.4
Lors d’une émission télévisée, un participant mentionnait des interviews qu’il avait effectuées. À la question « Quelle est votre plus grande peur ? », une personne avait répondu : « C’est que Dieu existe. »
Qu’est-ce qui peut bien motiver quelqu’un à raisonner ainsi ?
Est-ce le désir de vivre sa vie sans rendre compte à personne et la volonté de faire tout ce qu’on veut ?
Est-ce la crainte de se trouver face à Dieu après la mort et la peur du jugement parce que sa conscience lui reproche des actes dont il n’est pas fier ?
En fait, nous pouvons choisir de fuir ces questions, ou, au contraire de nous rapprocher de Dieu en lui demandant pardon pour nos fautes, dans la repentance. Toutefois, nous préférons souvent éviter de reconnaître nos torts : d’abord parce que notre orgueil en prend un coup, et aussi parce que nous craignons la réaction de l’autre.
En ce qui concerne Dieu, la parole d’aujourd’hui est réconfortante : nous pouvons venir à Dieu en demandant pardon, et nous serons accueillis avec bonté. Cet accueil, Jésus l’illustre dans l’histoire du « Fils prodigue ». Ce fils est reçu chaleureusement par son père quand il revient à la maison. Pour en savoir davantage, vous pouvez prendre la lecture proposée.
Marie Christine Fave
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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 15, versets 11 à 32.