Restez donc vigilants, puisque vous ne savez ni le jour ni l’heure où le Fils de l’homme viendra.
Matthieu 25.13
Pour la première fois de sa vie, une touriste montait à la tour Eiffel par l’ascenseur. Soudain saisie d’inquiétude en voyant le sol s’éloigner d’elle, elle interrogea anxieusement le liftier :
– Et si, par hasard, les câbles venaient à se rompre, où irions-nous ?
– Eh bien ! Madame, si vous êtes croyante, cela dépendra de la vie que vous avez menée !
En fait, les systèmes de sécurité entreraient automatiquement en action si les câbles venaient à se rompre.
Cependant, le garçon d’ascenseur n’avait pas entièrement tort dans sa réponse. Et il est bon que nous soyons en souci de notre éternité. Dieu a mis au cœur de l’homme la pensée de l’éternité.1 C’est la Bible qui l’affirme. Mais elle montre qu’il y a deux sortes d’éternité : l’éternité de gloire, de bonheur infini avec Jésus, d’une part, et l’éternité de remords, de perdition et de tristesse, d’autre part.
Personne ne mérite le ciel, l’éternité de gloire. Mais Dieu la réserve à ceux qui se sont repentis de leurs péchés et convertis au Christ, pour vivre une vie nouvelle ici-bas : déjà, ils ont en eux la vie éternelle. Pour aller en enfer, dans l’éternité de malheur, les humains n’ont qu’à rester tels qu’ils sont. Qu’ils soient plus ou moins religieux ou incrédules n’y changera rien.
Ce n’est pas pour rien que la Bible dit : Voici, j’ai mis devant toi la vie et la mort… Choisis la vie afin que tu vives.2
Lucien Clerc
1 Ecclésiaste 3.11 2 Deutéronome 30.19
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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 25, versets 1 à 13.