L’Esprit du Seigneur m’a oint pour proclamer aux captifs la délivrance.
Luc 4.18
Près de 15 % de Français se disent frileux à l’idée de signer un acte de vente immobilière un vendredi 13 ! Pour leur porter chance, 28 % placent chez eux un porte-bonheur. Bon nombre consultent devins et guérisseurs.
Au sens large du terme, la superstition désigne toute forme de foi qui n’a pas Dieu pour objet. Elle consiste à mettre la confiance en ce qui retient loin de Lui. Que ce soient des pratiques ou des idéologies et philosophies, parfois occultes ou pseudo-chrétiennes.
Ces démarches ne sont pas aussi anodines qu’on pourrait se l’imaginer. La superstition est une forme de croyance quasi religieuse fondée sur l’ignorance.
Placer ainsi la confiance dans des objets, des rituels ou des personnes détourne l’attention du Dieu vivant et consiste à s’en faire une idole !
Cela conduit à craindre une créature ou des circonstances plus que le Créateur de toutes choses. Et, parfois, à ouvrir les portes à l’influence d’esprits mensongers et de puissances démoniaques. Il peut en résulter toutes sortes de tourments et de troubles physiques et psychologiques.
Jésus est venu pour nous dégager de tout joug qui aliène nos esprits. Par son Esprit, Jésus veut nous libérer de la superstition et de ses conséquences.
Lui faire résolument confiance nous permet d’être libérés de toute oppression.
Guy Gentizon
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Lecture proposée : Psaume 107, versets 10 à 16.