Il est venu chercher et amener au salut ce qui était perdu. Luc 19.10
Noël nous revient comme chaque année à cette même époque. Temps béni entre tous : pour les chrétiens, pour l’église et pour chacun. Une fois de plus, nous allons réentendre la bonne nouvelle annoncée par les anges : Il vous est né un Sauveur. Et Zacharie, le prêtre ajoute : Dieu nous a suscité un libérateur plein de force qui nous délivrera de tous nos ennemis, de ceux qui nous haïssent.
Oui, très bien, mais ce puissant Sauveur de quoi nous délivre-t-il ?
D’abord, il nous délivre des conséquences de nos péchés. Conséquences fâcheuses s’il en est : la perdition éternelle loin de Dieu et de son paradis.
Il nous délivre aussi de la puissance du péché sur nous, de nos addictions, si terribles soient-elles.
Et délivrance suprême, il nous délivrera pour toujours de la présence du péché et de son cortège de misère. Ceci est inimaginable, mais ce sera formidable ! C’est promis par Dieu.
C’est avec raison que l’Évangile est appelé : la bonne nouvelle. Elle l’est, assurément, pour autant qu’elle soit acceptée et crue. C’est alors qu’elle développe tous ses effets.
Yvan Dussart
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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 1, versets 67 à 70.