Nous sommes tous semblables à des êtres impurs, toute notre justice est comme des linges souillés.
Ésaïe 64.5
Bien des personnes sont choquées par l’évocation du “sang impur” de la Marseillaise. On peut en effet regretter que la France contemporaine ait toujours un hymne national aussi guerrier et on peut préférer les paroles plus fraternelles de Graem
e Allwright1.
Peut-être sera-t-on encore plus choqué du verdict de Dieu sur tout homme, tel que le verset de l’en-tête, et bien d’autres, le soulignent avec force ? Pourtant, Dieu connaît nos cœurs mieux que nous-mêmes et il sait que nous avons tant besoin d’être purifiés !
Et qui peut purifier nos cœurs, sinon quelqu’un d’absolument pur ? Les Israélites devaient offrir en sacrifice pour leurs péchés un agneau sans défaut. Ce geste anticipait la venue de Jésus, l’Agneau de Dieu. De la lecture proposée ci-dessous, j’extrais ces mots : Vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache.
Et l’apôtre Jean écrit : Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, […] le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.2
Merci, Seigneur !
Claude Schneider
1 Voir les paroles de sa « Marseillaise » sur Internet 2 1 Jean 1.7
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Lecture proposée : 1ère lettre de Pierre, chapitre 1, versets 13 à 23.