Comme passe le tourbillon, ainsi disparaît le méchant ; mais le juste a des fondements éternels.
Proverbes 10.25
Quand on achète une voiture ou de l’électroménager, on choisit en principe un produit de qualité et qui dure… Pourquoi ne pas faire ce double choix pour notre vie ?
Choisissez la qualité ! Pour échapper aux exigences de la perfection divine, l’homme s’efforce de bâtir lui-même une éthique en dehors de Dieu. Mais son cœur est tellement inconstant que sa notion du bien est une girouette. En fonction des courants de pensée de ce siècle et de ses propres passions, la frontière entre le bien et le mal est modifiée. La mise à l’écart de Dieu conduit la société dans un enlisement moral. Le refus de son autorité nous entraîne vers une qualité de vie médiocre et superficielle. Le philosophe Ravi Zacharias écrivait : « Dans notre recherche d’une morale et d’un bonheur en dehors de Dieu, nous les avons en fait perdus tous les trois : Dieu, la morale et le bonheur. »¹
Choisissez la durée ! Sans Dieu, le temps et la mort rendent la vie vaine et sans avenir. Léo Ferré chantait le désespoir du temps qui efface tout.² Mais dans l’Évangile, l’espoir survit au désespoir. Avec Jésus-Christ, sa promesse d’éternité est le seul refuge face à la vieillesse et la mort. Confier sa vie à Christ, c’est la placer sur des fondements solides et éternels…
Dominique Moreau
¹ L’homme peut-il vivre sans Dieu ?, Éditions Farel ² Avec le temps
__________________
Lecture proposée : Lettre à Tite, chapitre 3, versets 3 à 8.