Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
Actes des Apôtres 4.12
Autour de Jésus, une grande foule venue pour l’écouter. Parmi elle se trouve de simples pécheurs, des publicains et des gens de mauvaise vie. Ils sont là, comme d’habitude, prêts à boire ses paroles. Cette fois-ci Jésus leur raconte une parabole, mais pas n’importe laquelle : la parabole de la brebis perdue (Luc 15.3-7).
Alors que le berger a rassemblé son troupeau de cent brebis en tout et qu’il le passe en revue, il se rend compte qu’une brebis manque à l’appel. Quel dur labeur de veiller à ce qu’il n’en manque aucune, surtout lorsqu’on a à sa charge un si grand troupeau ! Mais le berger est prêt à laisser ses 99 autres brebis pour partir à la recherche de celle qui est perdue. Et il ne se donne aucun repos jusqu’à ce qu’il la trouve. Une fois la brebis retrouvée, le berger la met sur ses épaules et invite ses amis à se réjouir avec lui.
Cette brebis égarée représente tous ceux qui ont pris un chemin qui les a conduits loin de Dieu. Cher ami, Dieu t’appelle et part à ta recherche. Entends-le, il t’appelle. Mais toi, te laisseras-tu trouver par lui ? Il est le bon berger qui a donné sa vie pour toi.
Sandra Lascombe
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Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 15, versets 1 à 10.